puis hocha lentement la tête. Quelques minutes plus tard, la porte du fond s’ouvrit, et Tao fit son entrée.

C’était un berger allemand d’une dizaine d’années. Ses pas étaient lents, mesurés, presque solennels. Il avait été formé pour accompagner Nicolas dans ses enquêtes. Ensemble, ils avaient formé un duo redoutable contre le crime, avant que tout ne bascule.

Lorsque Tao aperçut Nicolas, il se précipita vers lui. L’homme tomba à genoux et l’enlaça avec force. Ses larmes coulèrent librement.

— Je suis désolé, Tao. J’ai échoué. Je t’ai déshonoré, moi qui croyais te protéger…..

Lire la suite en page suivante