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larmes. Peut-être aussi parce que, pour la première fois depuis longtemps, j’avais repris le contrôle de mon histoire.
À notre retour, je lui ai proposé une thérapie de couple. Non pas pour le pardonner facilement, mais pour voir s’il y avait encore quelque chose à sauver. Il a accepté. Il a même pris le premier rendez-vous.
Aujourd’hui, je ne sais pas encore si notre mariage survivra. Mais je sais une chose : je ne laisserai plus jamais quelqu’un m’effacer de l’image.
Et si je dois la prendre seule, cette photo de ma vie… alors je cadrerai chaque détail avec fierté.