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affaires étaient là. Sauf quelques vêtements, son passeport… et un carnet.
Un vieux carnet noir. Son journal intime.
Je n’aurais jamais voulu y entrer, mais à ce moment-là, c’était la seule piste. En le feuilletant, mes mains tremblaient.
Page après page, je lisais ses peurs, ses doutes, ses douleurs… et surtout une phrase qui revenait